Ensemble Orchestral d'AUCH

Rigueur et plaisir, une symphonie partagée…

Étiquette : Juillet

  • L’Ensemble Orchestral d’Auch au cœur de la cérémonie du 14 juillet

    Comme chaque année, l’Ensemble Orchestral d’Auch a participé à la cérémonie officielle du 14 juillet à Auch. Ce rendez-vous annuel, empreint de solennité, célèbre les valeurs républicaines et la mémoire collective.

    En accompagnant ce moment fort, l’EOA donne corps à l’émotion et à l’unité, offrant une présence musicale vibrante et respectueuse, au service du lien entre les générations.

    Comme à l’accoutumée, la cérémonie a également été marquée par :

    • La remise de décorations officielles, en reconnaissance de parcours méritants et d’engagements remarquables.
    • Une mise à l’honneur des bacheliers du département ayant obtenu les meilleures notes et mentions — un hommage à la jeunesse et à l’excellence républicaine.

    L’Ensemble Orchestral d’Auch est fier d’être, encore une fois, au service de la République, de la ville et de ses habitants, dans un moment de reconnaissance, de respect et d’élan commun.

  • Après l’annulation du concert du 1er juillet…

    Une amertume partagée, une musique encore dans les cœurs

    C’est le cœur serré que les musiciens de l’Ensemble Orchestral d’Auch ont rangé pupitres, percussions et partitions. Le concert du 1er juillet, préparé depuis de longs mois avec enthousiasme et minutie, a été annulé en raison des fortes chaleurs annoncées. Une décision difficile, prise par les autorités compétentes, mais ressentie comme un choc émotionnel par l’ensemble de l’orchestre.

    Ce concert représentait bien plus qu’un simple rendez-vous musical : il était le point culminant d’une année de travail assidu, d’engagement collectif, de répétitions passionnées et de rencontres humaines fortes — notamment avec la chorale Toulouse Garonne. Pour certains jeunes musiciens, tout juste étudiants ou de passage à Auch, il était aussi la dernière occasion de jouer avec l’orchestre avant de poursuivre leurs chemins ailleurs.

    Face à la déception, il fallait trouver un élan. Une évidence s’est imposée : se retrouver malgré tout. Ainsi, après avoir déchargé le camion, les musiciens ont choisi de se rassembler et de partager un repas improvisé, presque symbolique. Autour de la table, les mots manquaient parfois, mais les regards suffisaient. La tristesse était là, palpable, mais aussi une tendresse et un sentiment d’appartenance.

    La musique n’a pas retenti ce soir-là sur la place de la Cathédrale, mais elle vibrait dans les liens entre ceux qui la font vivre au quotidien. Une parenthèse douce et amère, à l’image des grandes histoires humaines et musicales.